• "I'm secretly in love with the way you wash your hands after taking out the trash."


     

    Je vais pas la faire à la Peps et raconter un épisode palpitant de ma vie et que paf, c'est à ce moment-là que j'ai découvert truc parce que machin. Mais tout de même.
    J'ai acheté le vinyle de Setting the paces à Athens, GA en août dernier. Petite anecdote, je l'ai trouvé dans le magasin où bossent John Fernandes (bassiste, violoniste, clarinetiste, mutliinstrumentiste de Circulatory System et Olivia Tremor Control dont je parlerai d'ici peu) et Mike Turner (boss du label HHBTM, chez qui est d'abord sorti en cd Albatross, l'album de Fishboy dont j'ai parlé dans mon premier billet ainsi que Classic Creeps - label dont j'aurais dû parler dans ce billet-là parce que sortant des tas de bons trucs et m'ayant fait découvrir Fishboy).
    Donc je disais que j'avais acheté le vinyle de BOAT à Athens. Ça faisait un moment que je pensais à écouter le groupe vu que Fishboy en disait beaucoup de bien. En revenant à Bruxelles, quelle ne fut pas ma surprise de trouver ça excellent. En fait aucune surprise là-dessous, je savais que ce serait bon.

    Voici donc BOAT. Pop et mélodique comme j'aime depuis 10 ans et rock comme j'ai aimé dans les années 90. Rien de neuf là-dessous et c'est tant mieux, le neuf ça s'abîme vite. Bref. Le premier morceau, que vous écoutez peut-être, s'appelle Prince of Tacoma et est donc sur l'album Setting the paces. Et là vous vous dites: comment ne pas accrocher immédiatement bordel? Je sais.
    Je précise que la phrase écrite plus haut (en gras et italique) est tirée d'un autre morceau d'un autre album. Mais c'est peut-être la plus belle phrase d'introduction d'une chanson. Enfin je dis ça sans penser à aucune autre intro de chanson hein, je dis ça juste pour parler, pour meubler, combler le vide, un peu embarassé, parce que, je sais pas vous, mais ce que j'aime dans la musique par dessus tout c'est l'écouter, pas lire n'importe quel couillon donner son avis.

    Donc pour cette même raison, j'offre un deuxième morceau, Frank Black says, tiré lui du tout nouvel album Dress like your idols, toujours aussi bon, si pas meilleur que Setting the paces mais on va pas chipoter. En cadeau, des paroles de cette chanson-ci, pour faire plaisir à Peps.

     "And when Frank Black says, "You can Gouge away"
    Sit at your desk another day
    Clocks count it down minute by minute
    In time you'll become a cynic!
    (...)
    You took me by surprise, now I'm caught up in your eyes."

     

     

    Et si vous n'en avez pas encore assez, une vidéo en session live radio. Toujours BOAT, oui.

     

    Bon, je dois finir sur une photo ou un truc comme ça. Pourquoi pas la pochette du dernier album de BOAT (je vous ai déjà parlé de BOAT?). Un hommage à des tas de groupes dont vous reconnaîtrez peut-être les pochettes (recréées ici par D. Crane, le leader du groupe).
    Ce qui m'inspire un petit jeu (n'allez pas croire que je sois d'humeur badine), retrouvez les noms des albums (et des groupes) et gagnez un cadeau surprise. Réponses dans les commentaires.

     

     Soundtrack of your life

     

     

    Dans deux semaine, Jean-Jacques Goldman.

     

    p.s. Peps, tu peux te brosser pour que je mette le nom du groupe en minuscules parce que c'est comme ça qu'il s'écrit. Et puis aussi crotte, mes titres seront des noms de groupes parce que j'ai envie. Et les couleurs des lecteurs, tu penses bien hein que je m'en tamponne.


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    "I could hear the screams from up above
    If it ain't a fist it isn't love
    As for our lady she kneels down
    Her neck is bent, the blade comes down
    Doing! There goes the breakfast bell
    Back from heaven, back to hell
    Naked howling freedom - Hell's Ditch"

     

     

     

     

    Ce concert, c'était pendant mon service militaire. Il sentait bon le sable chaud, ton légionnaire.  A moins qu'il ne sentit plutôt l'ozone dégagé par les photocopieurs dont il était responsable pour toute la caserne. Oui môssieur, j'ai glorieusement servi mon pays en étant responsable du service reprographie d'un régiment de Metz. Rigole pas, j'ai été décoré pour ça !

    Je ne vais pas m'étendre sur mon service militaire, parce qu'il faut bien dire que je n'ai pas grand-chose à raconter, tellement c'était chiant.

    Du coup on pourrait parler de ce fameux concert des Pogues, non ?
    Ouais, je savais que ça te plairait !
    C'est bizarre parce que je n'ai plus aucun souvenir musical de ce concert, excepté cette image dont je ne saurais dire si elle est fantasmée ou réelle : deux ou trois membres du groupe qui entrent sur scène avec des trompes tibétaines ou des cors des Alpes - des grands trucs pour soufller dedans, quoi - pour l'intro d'un morceau.

    Par contre je me souviens très bien de ce qui m'avait vraiment surpris : l'éclectisme du public.
    Il y avait - vraiment - de tout : des punks (dont un type complétement défoncé qui avait une toile d'araignée tatouée sur le crâne, et qui avait un regard à faire peur. Oui, il m'a marqué !), des pères de famille avec leur jeune gamin sur les épaules, des petites nénettes excitées comme des puces, une équipe de rugby qui nous a massacré le dos pendant une bonne partie du concert (les risques du premier rang...), etc...
    Je dis "nous" parce qu'on était allés à ce concert à deux : Fabien et moi. C'est fou cette coïncidence, hein, parce que justement Fab m'a appelé avant hier, après un paquet de temps sans nouvelle ! Ouais, y s'passe des trucs de dingue, je suis d'accord.

    Aucun de nous n'ayant le permis, c'est le père de Fabien qui nous conduit, et ma mère accompagnée de ma soeur qui viendra nous chercher. Si si, c'est important pour la suite de l'histoire, crois-moi !

    Je ne vais malheureusement pas pouvoir m'attarder sur le concert, parce que je n'en garde que des impressions. Une déception, d'abord : ne pas avoir vu The Pogues en concert quand c'était le sieur Shane MacGowan qui donnait de la voix et des bouts de dents. Car non, Lord MacGowan n'était pas présent ce soir-là (certainement en train de picoler avec ses nouveaux potes, The Popes), et c'étaient Spider Stacy et Jem Finer qui officiaient au chant. C'est triste, mais c'était ça ou ne jamais voir The Pogues, camarade !
    Et aussi une impression de joie et d'euphorie dans le public mais aussi sur scène, et de pogo continu avec cette fameuse équipe de rugby qui nous rentrait dans les reins et nous a poussés à quitter le premier rang. Oui, le concert était joyeux, festif. A l'image des Pogues, quoi.

    Et à la fin du concert, quelques membres jettent des papiers dans le public, et comme je suis d'une détente, d'une souplesse et d'une agilité à tout épreuve, j'en attrape un au vol. Sans savoir aucunement à quoi ça rime.
    Ben ça rime que c'est des pass backstage que les gaillards envoyaient ainsi dans le public !

    Du coup on cherche comment on rentre dans les loges en suivant plus ou moins quelques personnes aussi sveltes que moi et donc détentrices du fabuleux sésame, et on passe devant ma mère et ma soeur qui nous voient et frappent à la baie vitrée de l'aéro histoire de dire "Eho, on est là !". C'était il y a quinze ans, donc j'escompte qu'il y a prescription mais je dois avouer ce qui me mine depuis toutes ces années : oui, maman, oui soeurette, je vous avais vues. Mais égoïstement j'ai fait semblant de rien pour ne pas avoir à me lancer dans des explications complexes sur l'intérêt d'aller voir The Pogues backstage. Et on est entrés tous les deux (avec une seule invitation, parce qu'en plus d'être svelte je suis diplomate, hé ouais !) dans l'univers fastueux des paillettes, de la fête, de la luxure et du stupre. Backstage, quoi.


    Passée l'euphorie de l'exclusivité, le tour de tous les membres du groupes pour chopper une dédicace, il faut bien avouer qu'une interrogation s'est vite imposée à moi : "qu'est-ce qu'on fait, maintenant, backstage ?".
    Engager une discussion dans un anglais approximatif sur l'état de l'Irlande et des guerres de religion qui font encore mal comme ce gars qui ne se rend même pas compte que Spider Stacy s'en contrefout, tout concentré qu'il est à rouler son joint ?
    Stagner près des bouteilles de champ' histoire de se saoûler à l'oeil ?
    Ou se casser parce que ces gars on est venus les voir sur scène, et qu'ils ont peut-être le droit (même si c'est leur choix d'avoir balancer des invit') de se poser peinard sans que des gros lourdauds ne viennent leur en montrer sur leur connaissance de la géopolitique irlandaise ?
    Ouais, dernier choix.

    C'est peut-être de là que me vient mon antifanatisme, ma vigilance face à ceux qui s'approprient leurs Idoles comme si ces dernières leur étaient redevables de quoi que ce soit. Ils t'offrent la Musique, c'est quand même un putain de cadeau ! Et toi tu veux en plus connaitre la marque de leurs clopes, la tronche de leur copine, où elles vont en vacances ? Mais on s'en branle bordel !

    D'ailleurs je pense que je dissocie assez facilement l'oeuvre de l'artiste, ou l'artiste de la personne privée, je ne sais pas bien.
    Prenons au hasard le cas de Noir désir... (normalement en évoquant Noir Désir, on invoque secrétement l'affaire Cantat, et ça devrait donner plein de commentaires joyeux parce qu'on a vraiment pas assez parlé de tout ça, hein)

     

    N'empêche que là tu écoutes "Hell's Ditch", et que c'est l'une des plus belles chansons des Pogues. C'est pas une version live parce que je n'en ai pas trouvé de correcte, mais peu importe.
    J'avoue avoir hésité avec cette version live de "Young Ned of the Hill" que je trouve excellente, avec ce dub celtique à la fin ! Mais j'ai tranché, même si ce ne fut pas simple, crois-moi.

     

    POGUE MAHONE !

     

     

    Soundtrack of your life

     Photo : Fred Javelaud        

     

     

     


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  • "A part boire des litres
    Remplir des poches
    Dater les registres du partage
    Trouver des titres
    Que dire sans être à la page ?
    Peut-être le mal du siècle c'est l'emballage
    A part de meilleures garanties
    Tel un pourcentage sur l'assurance-vie
    Ou s'arranger la frange
    Ne plus croire en la loi des échanges
    De la fange qui a faim ou du gratin qui mange
    A part sortir quand c'est fini
    Main dans la main de celle qui nous a choisis"

     

     

     

     

    Je me souviens bien de ma découverte de cet album #3 de Diabologum. Je ne me souviens pas si c'était un lundi après-midi semblable aux autres, mais c'était en 1996 dans l'un de ces CD que les Inrocks concoctaient pour nous faire découvrir de futurs albums/de nouveaux groupes/des groupes méconnus (je pense qu'ils le font encore, d'ailleurs, mais le magazine s'étant éloigné de sa ligne première, la musique, pour offrir de plus en plus d'espace à la politique et à la société en le faisant moins bien (ou plus consensuellement) que d'autres - voir liste sur la colonne de gauche - je ne le lis plus depuis bien longtemps, sauf de manière très ponctuelle).

     

    Je me souviens avoir été marqué par cette phrase : "Peut-être le mal du siècle c'est l'emballage".

    Sûrement parce qu'ils ont raison, les gars de Diabologum. Quel que soit le degré d'écoute.

    Au premier degré, oui, l'emballage est une connerie. Les sacs plastiques inutiles, le carton autour des tubes de dentifrice, le packaging des parfums, les grosses boîtes autour des petits produits histoire qu'ils soient bien visibles dans les rayons des supermarchés, etc...
    Tout ça, ça fait pleurer la planète comme le dit si poétiquement notre pirate.

    Au second degré aussi, ça marche bien. L'emballage de décisions politiques indécentes sous un discours à l'antithèse de la finalité de la décision, ce mensonge permanent de la novlangue chère au grand Orwell, me débecte. C'est réellement le mal qui ronge la démocratie.
    Je me relis, là, et je me dis que des fois c'est chiant de tout analyser sous le prisme politique...
    Je vais donc plutôt m'analyser moi-même, à l'aune de ce morceau de Diabologum.

     

    Fred-le-photographe (c'est compliqué les Fred, parce que le meilleur ami de ma chérie s'appelle Fred, et c'est lui qui fait les superbes photos que tu admires au lieu de lire ma prose, ingrat ! et mon meilleur ami aussi s'appelle Fred - je ne sais pas ce que valent ses photos, mais sa pitance est merveilleuse, vas vite me goûter ça aux Deux Gourmets à Cysoing !) ne connaissait pas ce morceau avant que je ne lui envoie, et il a souligné le pessimisme du truc. Et je me suis dit que tiens c'est vrai que c'est moyennement joyeux, comme texte.

    Il faut savoir que Diabologum a splitté après cet excellent album qu'est #3. Et que les deux principaux protagonistes du groupe se sont lancés chacun de leur côté dans un nouveau projet : Michel Cloup (PETER) crée Expérience, qui a eu son succès, et Arnaud Michniak (TADZ) crée Programme. Expérience fait un rock qu'on pourrait qualifier de vindicatif, quand Programme fait une musique qui pourrait s'apparenter à du slam electro-rock aux textes tellement plus pessimistes (nihilistes, me dira un jour Laurent) que celui de "365 jours ouvrables" que je n'avais jamais touché du doigt le côté "sombre" du texte de Diabologum.
    Et il s'avère que je préfère Programme à Expérience. Le pessimisme à la révolte.

    Enfin... ça c'est vrai en musique, mais dans la vie je suis plus révolté que résigné. Plus optimiste que pessimiste. Ou, pour tempérer un peu cette vision tranchée : je suis profondément optimiste, même si ma raison devrait me pousser au pessimisme tant je m'effondre chaque jour devant les dégâts provoqués par l'homme. Mais non, j'ai l'optimisme chevillé au coeur. Et je nourris mes esgourdes avec de bon gros morceaux de pessimisme.

    Pourquoi ? Oui, pourquoi ???
    Honnêtement, je m'en fous du pourquoi. Je pense surtout qu'on fait plus facilement passer de la "tristesse" que de la "joie" en musique. Ou que cette "tristesse" me touche plus. Prends, par exemple, ces quelques minutes de "The Dead Flag Blues" que Godspeed You ! Black Emperor a intitulées "The Cowboy" ; ben elles me hérissent systématiquement les poils, et si je suis moody, j'ai les larmes qui me montent aux yeux.

    Bon, y a quand même quelques exceptions : les Wampas, bien sûr, et des gens comme Fishboy, Clues et quelques autres.
    Et j'aime bien la rage des Bérus ou d'Atari Teenage Riot, par exemple.

     

    Donc OK, "365 Jours Ouvrables" est pas joyeux joyeux. J'admets.
    Mais quid du reste de l'album, te demandes-tu, lecteur avisé ?
    Ben on va dire que c'est un peu du même tonneau, hein...
    Les quelques instrumentaux ("Dernier Etage" et "Blank Generation") sont pas très pétillants, l'instrumental posé sur les paroles du film "La Maman et la Putain" de Jean Eustache plombe bien le texte (qui n'avait pas forcément besoin de ce surlignage pour être plombant, ceci dit), l'excellent "Il Faut" est dans la lignée du texte de "365 Jours Ouvrables", et même les deux morceaux un peu plus conventionnels (mais néanmoins très bons) que sont "De la Neige en Eté" et "A Découvrir Absolument" sont loin de l'ambiance anniecordyesque, convenons-en.
    Bon enfin, écoute tout ça et on en reparle, hein !

    Et on reparle d'Arnaud Michniak à la sortie de L'Enfer Tiède, en 2002.

     

    Bonne dépression...

     

    Diabologum

    Photo : Fred Javelaud      

     

     


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  • "There is no undo or backspace"


     

    Je vais enfreindre les règles pour ce premier billet. En hommage à mon ami Mathieu, décédé il y a 12 jours du cancer. Il avait 32 ans, une envie de vivre immense, une générosité dans tous les sens du terme et un amour immodéré pour la musique. C'était mon meilleur ami, il me manque comme personne.

    Rassurez-vous, je suis pas là pour faire pleurer dans les chaumières, je vais parler musique.
    Il avait créé son label (Yr Letter Records) il y a six ans et sans lui, sans ses encouragements et son aide, je n'aurais jamais lancé le mien et je n'aurais jamais sorti, en vinyle, "Albatross", le précédent album de Fishboy, le groupe dont je veux vous parler aujourd'hui.

    Donc je disais que j'allais enfreindre les règles: les paroles ci-dessus, bien que de Fishboy, ne sont extraites ni du morceau en écoute ni de la vidéo plus bas. Dingue.

    J'ai découvert Fishboy grâce à l'album Albatross (le titre complet: "Albatross: How We Failed to Save the Lone Star State With the Power of Rock and Roll") dont est tiré le morceau que vous écoutez peut-être en ce moment. Je suis tombé amoureux immédiatement. Ce morceau est le dernier du disque. L'épilogue d'une histoire. Oui parce que ce disque est ce qu'on appelle un concept album ou plutôt un rock opera (je sais, on en dit de ces conneries dès qu'on parle musique) résumant assez bien la vie, de la naissance à la prison, d'un homme dont le destin est de sauver le Texas grâce à une chanson (d'où le titre complet de l'album). Et si ça ne suffisait pas, le nouvel album, Classic Creeps (qui est justement sorti aujourd'hui) est encore plus concept que le précédent: le titre de chaque chanson commence par la lettre A, chaque chanson étant le nom d'un personnage, chaque personnage faisant partie de l'histoire complète via un lien avec la chanson précédente ou suivante, la dernière chanson bouclant la boucle. Si c'est pas beau ça.

    Mais soyons honnête, ce n'est pas (seulement) le concept qui fait l'intérêt de Fishboy. C'est sa musique, ses mélodies, sa fraîcheur, son excentricité. Fishboy c'est tout bêtement mon remède contre la morosité.

    Bon, faut que j'arrête là. Je m'étais dit en acceptant la proposition de venir écrire ici qu'il ne fallait surtout pas que je tente de persuader qui que ce soit, avec des phrases toutes faites et des effets de manche, d'en écouter plus. Si c'était malgré tout le cas, toute la discographie de Fishboy est en écoute ici. Et tout est bon.

    La vidéo ci-dessous est un extrait du nouvel album. Et c'était la chanson préférée de Matt sur cet album.


    Une dernière illustration pour la route (puisque c'est dans les règles), elle est signée Fishboy lui-même (il dessine aussi divinement, c'est d'ailleurs lui qui illustre abondamment tous ses albums, voir ici par exemple pour le dernier album) et elle fera marrer toute personne qui a tenté un jour de décrire un groupe ou un genre musical.

    Soundtrack of your life

     

    La semaine prochaine, Jean-Jacques Goldman.


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  • "I hear babies crying, I watch them grow
    They'll learn much more than I'll never know
    And I think to myself what a wonderful world
    Yes I think to myself what a wonderful world."

     

     

     

    9 mai 2011.
    Notre pirate a quatre ans aujourd'hui.

    Quatre ans de bonheur et d'amour qui rendent le monde plus wonderful.
    C'est fou comme ça change la vie, comme ça chamboule les priorités, ces petites choses !

    Je ne vais pas m'étendre plus sur la guimauve qui m'anime en ce moment, mais sache que c'est de la bonne...

     

    Pirate

     

     Photo : Fred Javelaud

     

     Musique : "What a Wonderful World" par Nick Cave & Shane MacGowan

     

     


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