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    "No sear, no crash, no boredom
    See there's no limits around

    Back to you

    Back to you"

     

     

    Ca devait arriver.

    Le retour (l'heureux tour, diraient les Ludwig).

    Après...pfiou ! plus d'un an d'absence. Mais bon, faut dire que 2012 a été une année plutôt chargée. Entre l'arrivée de Capucine le 1er janvier, le déménagement dans la foulée, et les travaux au jardin et dans la maison, je me suis fortement détaché de la virtualité pour devenir un manuel. Et du coup ce blog en a pâti. Et - soyons honnête - la Musique aussi ; 2012 aura été pour moi une année assez pauvre au niveau musical : peu de découvertes, très peu de concerts sinon notre concert rituel aux Arènes de Nîmes - Radiohead cette année, une fois de plus, et toujours aussi fort. Mais on peut pas tout faire, hein. Entre faire pousser une Capucine et arroser ses esgourdes, le choix est vite fait. Mais comme elle pousse bien, la Capucine, et que les travaux avancent à leur rythme, je vais essayer maintenant d'alimenter à nouveau ce blog de mes élucubrations syntaxiques, et surtout, de Musique.

    Ca va aussi me faire du bien, de me replonger dans la Musique. De me replonger dans la playlist de ma vie. De commencer, déjà, par finir cet article sur Massive Attack commencé il y a donc plus d'un an, déjà illustré d'une superbe photo de Fred (contribuera-t-il encore au renouveau de ce blog, maintenant qu'il est une star dont le monde entier s'arrache les photos ?). Et de continuer à dérouler le fil de ma vie en musique.

    Et je pense aussi à ajouter des rubriques. Un truc un peu court juste pour mettre en avant un morceau que je découvre, à chaud, et qui me fait des choses, là et là (comme "Different Pulses" d'Asaf Avidan, par exemple). Et peut-être une espèce de "Playing tracks" dans lesquels je m'étalerais sur d'autres pans de mon univers : les jeux, les romans, par exemple. Mais là je vais déjà trop loin... Commençons déjà par publier rapidement ce billet, par terminer l'autre, et par tenter de tenir un petit rythme, sans se mettre la pression (j'en ai trop chié avec la pression en fin d'année 2012). Et après, on verra où les vents nous mènent... (en parlant de vent, faudrait aussi que je me remette à la lecture et que je finisse enfin la fabuleuse "Horde du Contrevent" du fabuleux Alain Damasio).

     

    Bref, ça sent la bonne année 2013 tout ça !

     

    Renouveau

    "Renouveau" - Bea&Peps            

     

     


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  • "And everything was made for you and me
    All of it was made for you and me
    cause it just belongs to you and me"

     

     

     

    Les fidèles lecteurs, ou les ceusses qui me connaissent un peu bien le savent : il n'y a pas que la musique dans ma vie.
    Je vais vite passer le couplet qui dit qu'il y a évidemment ma chérie et mon loulou (et ma future louloute), et ma maman, et ma soeurette et mon frérot, etc... parce que c'est tellement évident que c'est inutile, et qu'en plus comme on oublie forcément quelqu'un on fait au moins un malheureux. Je vous aime tous, les poussins.

    Non, j'ai une deuxième passion, voire une première selon le moment : je suis un joueur invétéré. Ne t'inquiète pas, mon dos va bien. C'est in-vé-té-ré qui est écrit. Rien à voir avec le poulpe.
    Joueur de jeux de rôles (que j'ai déjà évoqués ici) depuis plus de vingt ans, et de plus en plus joueur de jeux de plateau. J'adore ça.

    Et comme j'aime bien partager mes passions - ce blog en est la preuve - et bien je fais partie d'une asso de jeux dynamique, la Guilde des Joueurs, sise à Gardanne.

    Et tous les ans nous organisons une convention de jeux : la Nuit Dés 6 Trouilles. Dont tu trouveras mon petit compte-rendu ci-dessous (l'original est ) :

     

    Samedi 19 Novembre.
    Après des mois de préparation dans le plus grand secret, après moult remuages de cerveau sur nombre de sujets allant de la confection des sandwichs à l'installation d'un réseau électrique, c'est le grand jour. Le jour J. The Dés Day. Le jour de la Nuit Dés 6 Trouilles.

     

    La voiture est chargée d'un fatras assez aléatoire : perceuse électrique, peau de mouton, cartons de lots gracieusement offerts par de généreux éditeurs dévoués corps et âme à la chose ludique, haut-de-forme, marteau, Olympos, Time's Up !, washboard et autres zobjets zétranges. Il est 8h35, le Peps se met en route, conscient de participer à l'édification de la Légende.

    8h55, arrivée devant la Maison du Peuple, un bien joli nom pour une salle qui va accueillir le bigarré peuple des ludistes provençaux.
    Je ne suis pas le premier - le fidèle sieur Christophe m'a devancé, mais le porteur des clés n'est pas encore là. Il ne tarde pas, et c'est lorsque résonnent les 9 coups de 9h que le rideau de fer est levé. Première difficulté, première épreuve, premières angoisses : diantre ! fichtre ! tudieu ! Nous n'avons pas la clé de la porte vitrée... Après de longues secondes où tous 3 sommes agités de tremblements, je me risque à baisser la poignée de cette diabolique porte ; c'est ouvert.

     

    Ni une ni deux nous démarrons la métamorphose de cette froide salle des fêtes comme il en existe partout en France, voire dans le monde, en une sombre antre à même d'accueillir ces gens à la réputation sulfureuse : les rôlistes. Nous pourrions ici disserter sur la bêtise de cette réputation, mais je pense que lorsque les rôlistes auront envahi le monde, ce ne sera plus qu'un sujet d'amusement. Laissons faire le temps.
    Dans le même temps, l'autre salle destinée à l'accueil de ces gens d'allure nettement plus respectable mais soyons sérieux, on ne joue pas à des jeux de société à plus de 20 ans, hein, on a passé l'âge de ces amusements (maintenant nous sommes sérieux : on regarde la télé) - les joueurs de jeux de société - se met en place. Plus sobre, mais tout aussi accueillante grâce aux sympathiques organisateurs tout entier dévoués à la cause ludique qui se feront fort d'expliquer aux intéressés les règles des nombreux jeux à disposition.
    La cantina se met elle aussi en place, mais je ne découvrirai tout le travail accompli que lorsque j'aurai une minute pour souffler, soit après la mise en place des boxs destinés à accueillir les tables de jeux de rôles. Vers 14h.
    C'est beau, cette émulation de groupe, tous ces gens qui oeuvrent ensemble à l'édification matérielle de ce qui n'était qu'un projet dans l'esprit de la Déco Team. Pendant que certaine se démène avec les panneaux grillagés, des équilibristes usent de l'échelle pour que la fée électricité illumine les tables de jeu, ou pour décrocher les fanions laissés là par ceux qui nous ont précédés. Puis on découpe des planches, on perce des planches, on agrafe du tissu, on sort le tapis rouge, etc... Le petit monde se met en branle, et le tout est terminé sur le fil. Certes, il nous a manqué de quelques dizaines de minutes pour peaufiner le tout, mais c'est déjà tellement bien que les participants n'y verront que du feu. Le feu sacré d'une association à l'unisson (ça en jette, hein, "feu sacré d'une association à l'unisson" !).
    Alors oui, pris dans cette frénésie nous aurons un petit loupé sur l'accueil des participants en avance sur l'horaire, et nous serons à deux doigts de louper l'arrivée en gare d'Aix des auteurs d'Eleusis (futur bombe des studios John Doe, qu'on se le dise), les chaleureux Nicolas et Lionel avec qui j'aurai la chance d'échanger plus tard dans la journée la soirée la nuit. Heureusement, JR sera sur les lieux à temps !
    Mais pas de fausse modestie : le résultat sera à la hauteur de ce qui avait fleuri dans la tête des membres de la Déco Team, et c'est beau de voir des songes se matérialiser.

    Tandis que les derniers détails se mettent en place, les premiers participants sont finalement accueillis comme il se doit, et très vite nous remarquons que l'affluence record de l'an passé sera pulvérisée !
    Entre deux réglages d'organisation et un passage de costume + maquillage à l'arrache j'accueille un peu trop rapidement à mon goût Camille et Philippe, les auteurs des Chroniques des Féals (le jeu de rôles dans l'univers des romans de Mathieu Gaborit, déjà connu des rôlistes pour nous avoir enchantés avec Agone), et Gaëlle et Pierre, soit l'auteure (avec le sieur Brand que les rôlistes connaissent forcément) et l'illustrateur de Guts, le premier jeu qui sera édité par les toutes nouvelles édition du Lapin Marteau. Un grand merci à elles et eux de s'être joints à nous !

     

    Les premières parties de jeux de rôles se lancent, nous devons gérer l'affluence et ajouter en urgence une table supplémentaire, et en parallèle les premiers parcours de jeux de plateau débutent, pris en main par messieurs Guillaume et Damien, rapidement rejoints par Sylvain, et un peu moins rapidement par moi-même.
    Voilà, c'est sur les rails. Après une explication de Small World, je souffle un peu, il est 15h.

    Anthony, lui, ne souffle pas et commence son marathon : les allers-retours entre la cantina et les tables de jeu afin de sustenter les participants sans casser le rythme des parties. Il alimentera ainsi le travail impeccable des dévoués nourrisseurs de joueurs : Séverine et Christophe, rejoints en soirée par Bart qui tiendra la cantina jusqu'à l'extinction des feux, vers 4h. Ils en ont vu défiler, des kilomètres de baguette et des litres de café !

    Je retourne rapidement aux affaires côté jeux de plateau et me lance dans l'explication des règles d'Olympos, un jeu qui sera bien apprécié. Ensuite je resterai de ce côté, juste "dérangé" par la journaliste de la Provence pour lui expliquer dans le détail ce que tout ce beau monde fait ici.

    Vers 20h, Sylvain et moi commençons à préparer la tombola qui permettra à chaque participant de repartir avec un lot confectionné à partir des dons de nos généreux partenaires. La tombola commence vers 21h, et sera bouclée en une vingtaine de minutes, ce qui est un exploit pour que près de 90 personnes choisissent leur petit cadeau !

    Du coup le timing est parfait, chacun peut retourner vaquer à ses occupations : choix du jeu de rôle nocturne pour les uns, jeu de plateau pour les autres, collation méritée pour la plupart, et départ pour les rares participants qui ne resteront que l'après-midi.
    Le temps de ranger les cartons vides de la tombola, je pars moi aussi me sustenter un peu, parce que bon c'est pas tout ça mais ça creuse, toute cette activité...

     

    Ma nuit sera comme je l'aime en convention : de l'échange avec quelques joueurs, avec d'autres orgas, d'excellentes parties de Fame Us sur une table de la cantina avec plein de rires et de mauvaise foi, prêts à aider Bart si rush il y avait, puis encore une explication des règles d'Olympos un peu plus tard dans la nuit, explication qui se transformera sous l'insistance des sympathiques joueurs à une participation qui me conduira jusqu'à environ 3h du matin, mais je n'en suis plus très sûr... Ce dont je suis sûr c'est que je finis 2ème, derrière monsieur Philou ; ce qui est normal vu qu'il y a apparemment une règle qui veut qu'à la fin, c'est Philou qui gagne. Et moi je suis du genre à respecter les règles.


    Les parties cessant, on attaque doucement le démontage, qui sera heureusement plus rapide que le montage. Le plus long reste le désagrafage du tissu réalisé avec minutie et l'envie féroce d'un lit (là je sais qu'il ne faut pas que je m'arrête ; si je m'assieds je m'endors...).
    Vers 4h30 du matin la salle est vide, il ne reste plus qu'à balayer....sans balai... Pendant que 2 sympathiques auteurs ayant tenu en haleine 2 tables de joueurs ravis de leur découverte d'Eleusis attendent sagement que quelqu'un leur offre le gîte. Je me sacrifie, et nous arrivons chez moi vers 5h15. Dépliage de clic clac, préparation de lit douillet pour mes 2 hôtes, et on se couche vers 5h30, ou pas loin.

    Le lever vers 11h est moins difficile que je ne le craignais, et quand je sors de la douche le café est en train d'être préparé. J'en avale une tasse avant de filer à la boulangerie pour remplir l'estomac de Nicolas et Lionel, ainsi que le mien qui le réclame avidement !
    Tout va très vite, nous discutons à bâtons rompus jusqu'à ce que je dépose ces jeunes gens à la gare vers 13h10.

    Je rentre retrouver ma chérie et mon loulou. Il est 13h30. La vie peut reprendre son cours normal.

     

    Mais déjà j'envisage comment faire une édition 2012 encore plus géniale !

     

    6trouille

     

     

    PS : tu te demandes pourquoi "The Passenger" pour illustrer cet article, hein ?
    Facile : c'est l'une des meilleures chansons du monde, du coup fallait bien que je la case, hein. Et puis les paroles mises en exergue collent plutôt pas mal au truc, je trouve.

    Allez, à bientôt pour parler musique.

     

     


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  • "When the night has come
    And the land is dark
    And the moon is the only light we'll see
    No, I won't be afraid
    No, I won't be afraid"

     

     

    22 août 2011.
    Sale journée pour les génies :

    - Peps reprend le travail (Je rappelle - pour ceux qui croient encore que le travail c'est la santé - l'étymologie de ce gros mot : trepalium, un instrument formé de trois pieux, deux verticaux et un placé en transversale, auquel on attachait les animaux pour les ferrer ou les soigner, ou les esclaves pour les punir), et autant te dire que ça ne fait que confirmer ce qu'il pense déjà de cette torture : c'est une torture.

    - Jerry Leiber crève dans l'indifférence générale (oui, là c'est de la mauvaise foi, mais l'effet dramatique est bien plus efficace que de dire qu'il s'éteint sous les clameurs de la foule. La larme, c'est bon pour l'audimat coco !).

     

    Si des inconnus tombaient par hasard sur ce texte, ils se demanderaient, ces incultes : QUI EST DONC CE JERRY LEIBER ???
    Mais heureusement tu n'en es pas là, érudit lecteur de mes triviales éructations syntaxiques. Toi, tu le sais que Jerry Leiber est l'auteur de l'une des plus grandes chansons du monde : celle que tu écoutes en ce moment et qui te fait faire la beatbox avec ta bouche, suivant la rythmique parfaite de ce morceau parfait. Et ouais, Ben E. King (rien à voir avec Martin L.)(sauf la couleur) n'en est que le magnifique interprète.

     

    Bon en même temps on va pas parler trop longtemps d'un mort, hein, parlons plutôt d'un génie vivant : moi.
    Ces 3 semaines de vacances furent bonnes, merci !
    Les Cévennes, c'est vraiment, VRAIMENT paumé. Et c'est intéressant de voir comme le relief d'un territoire en fait un territoire de résistances : les Cévennes furent une terre de Résistance durant la seconde guerre mondiale, et c'est maintenant - et de façon à mon avis involontaire - une terre de résistance à l'invasion marchande. On n'a certes pas voyagé dans toutes les Cévennes, mais entre Alès et notre gîte perdu sur les hauteurs de Saint-Germain-de-Calberte, on n'a pas vu un supermarché. Pas de centre commercial, pas de galerie marchande, pas de panneaux publicitaires. C'est reposant. Il doit y avoir ça à Saint-Jean-du-Gard, mais on n'y est pas allé. Dans les Cévennes, on peut réussir à éviter l'agression publicitaire, les enseignes lumineuses qui s'imposent à l'oeil, l'hégémonie des 3 groupes qui nous vendent de la bouffe industrielle et plein de choses inutiles.
    Je pense vraiment que cette résistance est surtout due au relief accidenté, à la difficulté d'accès à beaucoup de village, et à la faible densité de population (engendrée par le relief elle aussi).
    Et cette résistance naturelle appelle - naturellement - une résistance humaine ; les Cévennes (comme d'autres territoires) sont une terre d'accueil pour les néo-ruraux, les babs et autres écolos qui osent.
    Du coup la lutte contre, par exemple, les gaz de schiste, est assez exemplaire et partagée.
    Ouais, c'est chouette tout ça ! Jusqu'à ce que ton loulou de 4 ans se choppe 39,5°C de fièvre, et qu'on doive faire une heure de routes sinueuses pour trouver un médecin. Là on se rend compte que le relief accidenté, c'est beau mais faut pas en abuser, quoi.
    Et quand en plus on a une femme enceinte, on se prend vite à espérer qu'il ne lui arrive rien... (il ne lui est rien arrivé, tout est bien qui finit bien, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, etc etc)

     

    De bonnes vacances, donc, mais il faut bien avouer que le meilleur dans "Stand by Me" c'est aps les paroles, c'est la simplicité de la musique. Et là, Jerry Leiber n'y est pour rien. Ca c'est l'oeuvre de Mike Stoller. On reparle de lui dès qu'il meurt.

     

    Travail

     

     


    10 commentaires
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    "We're not grey poeple
    We're not dirty, we're not mean
    We love everybody but we
    Do as we please
    When the weather's fine
    We go fishing, or go swimming in the sea
    We're always happy
    Life's for living, yeah, that's our philosophy"

     

     

    Départ dans les Cévennes dans pas longtemps, on est presque prêts mais on sera à la bourre, comme il se doit.
    Je sens que cette semaine de glande sera géniale, et je me trompe rarement quand il s'agit de glande !

    Donc pas de livraison de ma part sur le blog la semaine prochaine, mais de la glande, de la glande, de la glande à deux à l'heure, de la glande matin, midi et soir.

    Et des animaux, vu qu'on sera chez les paysans, dans une ferme paumée au fond des Cévennes, en Lozère.

     

    Là :

    Extra track #07 - In the Summertime

     

    Autant te dire que ça va être le top !

     

    BONNES VACANCES !

     

     


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    "Come all you rambling boys of pleasure
    And ladies of easy leisure
    We must say Adios! until we see
    Almeria once again"

     

     

    Pour moi, c'est ça la Fête de la Musique.

    Ou ça, aussi :

     

     Squirrel Nut Zippers - Bedlam Ballroom / The Puffer

     

    Ce qui me permet de caser un titre de Squirrel Nut Zippers dont je parlais il y a peu à Charlie. Et dont je reparlerai plus longuement dans quelques temps, parce que c'est un groupe démentiel. Et encore, là c'est le monsieur qui chante, je réserve la madame qui chante pour plus tard. Charlie adore les madames qui chantent. Même si elles chantent de la merde. Il te le démontrera bien assez tôt.

     

    Donc voilà, la musique c'est pas toujours la fête (j'aurais pu illustrer cette maxime avec "La Fête Triste" de Trisomie 21, c'eut été fort à propos), donc comme aujourd'hui c'est la fête de la musique, autant qu'on écoute de la musique de fête, hein.

    La pop joyeuse du compère Eddy aurait elle aussi été fort à propos, mais je n'empièterai pas sur ses plates-bandes, sauf peut-être pour te reparler, un jour, de Grape Soda parce que c'est vraiment bien !
    Mais pas là maintenant tout de suite.

    Tord aurait pu aussi profiter de la fête de la musique pour hurler son amour pour Nolwenn Leroy, mais comme elle passe sur la 2 pour ce qui s'annonce comme une dé-fête de la musique, je subodore qu'il est scotché à l'écran, ce pervers. Ou alors il se saoûle sur la Plaine en écoutant du reggae, mais je penche plus pour l'hypothèse Nolwenn.

    Blaise aurait sûrement sorti un truc ésotérique de son chapeau pour souligner cette fête de la musique, mais on ne peut que conjecturer, vu qu'il ne met pas de chapeau en été.
    Ou alors il nous aurait resservi du Charlots, le fourbe !

    Et Charlie nous aurait gratifié de....de quoi, tiens ?
    Il écoute des trucs de fête, Charlie ?

     

    Bon allez, bonne fête de la musique !

    Trisomie 21 - La Fête Triste

     

     


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